Le job de Laurine est pour elle une mission dans laquelle l’humain occupe une place centrale

« J’ai commencé à travailler au centre en tant qu’assistante sociale, puis cheffe d’équipe du service social et aujourd’hui responsable finale. Mes tâches et mes responsabilités ont progressivement gagné en intensité et en exigence, mais je ne rechigne pas devant les défis. »

Avant de travailler chez G4S, Laurine a occupé d’autres fonctions à caractère social et communautaire. Elle a notamment travaillé pendant un certain temps avec des jeunes. Qu’a-t-elle retenu de ce travail ? 

« J’ai apporté mon soutien à un groupe de jeunes dans le cadre d’un projet relatif à Auschwitz. La préparation de la visite du camp de concentration a été très intensive. Nous avons rencontré une personne qui avait survécu aux camps, mené des débats et des discussions, regardé des films, etc. Ce projet restera à jamais gravé dans ma mémoire. La façon dont ces jeunes se sont préparés et ont mis en place des actions pour financer le projet est également fantastique. »

À son poste actuel, l’humain est à nouveau au centre des préoccupations. Et c’est précisément pour cette raison que Laurine aime tant ce qu’elle fait.

Mais son travail comporte aussi des défis : le centre d’accueil héberge pas moins de 500 résidents et emploie 45 personnes.

« Je considère cela comme une mission. Elle n’est pas simple, mais elle a beaucoup de sens. J’apprends aussi en permanence, ce qui m’aide à m’épanouir dans mon travail et sur le plan personnel. »

En quoi consiste exactement son rôle ? « Avec ma collègue, je supervise le service social, le service administratif, l’éducation et la formation. Nous nous réunissons plusieurs fois par semaine pour identifier les difficultés et chercher des solutions. 

Nous sommes également le lien avec Fedasil et les autres parties concernées. »

Laurine est loin de se reposer sur ses lauriers. Elle donne le meilleur d’elle-même dans cette fonction et souhaite encore évoluer au sein de notre organisation. 

« Je verrai ce que me réserve l’avenir. Je ne travaille chez G4S que depuis trois ans. Je m’y sens très appréciée et soutenue. »